Virae (Von Lisemburg) Conelly : « Qui peut s'attendre à voir sa vie se transformer pour une rencontre ? Qui aurait pu prévoir que rencontrer Edmund Conelly aurait changé ma vie, aurait changé mon cœur, aurait tout changé en une poignée de mois. Je ne dois plus y penser, je suis enfin heureuse. »

Chapitre 1 : L'amour est à réinventer.

« Seth je pars. Je suis accepté à l'école des dresseurs de Feli-Cité. »

L'annonce était tombée ce jour là. Le plus vieux des deux frères Edmund partait pour le continent de Sinnoh. Il s'était attendu à des cris, des coups, des larmes, mais rien de tout ça, troubla la famille Conelly. Seth lui adressa un grand sourire, heureux de son sort. Leurs parents s'inquiétèrent un peu, mais Edmund était quelqu'un de sensé, il avait travaillait dur et puis surtout rien à faire, Edmund, surnommé par tous Mundy voulait partir. Ce n'est pas qu'il n'aimait pas le Kanto, ou encore qu'il n'aimait pas sa famille. Non il avait toujours eu les Pokémons dans la peau, cette envie de faire ses preuves comme son frère. Derrière le nom Conelly, cette même passion pour les Pokémons. Passion qui semblait se transmettre de génération en génération. Même adulte Edmund se souvenait encore des "au revoir" et des promesses de se revoir plus tard, il se souvenait de lettres qu'ils devaient s'envoyer et qui ponctuèrent sa vie dans la région de Sinnoh. Il se souvenait encore des yeux ébahis qu'il avait eus quand il avait vu les grands bâtiments de son école. Et le temps avait défilé. Et il avait appris à combattre avec son Tylton, et il avait fait ses preuves dans l'école de dresseurs. Une école des plus renommée, sur tout les continents, il en était sorti major et fier, il n'en n'était pas ressorti seul non plus. Une drôle de rencontre. Des crayons échangés, des Pokémons qui suscitaient l'attention de l'autre. Altaria, son Tylton récemment évolué et le Milobellus Shiny de la demoiselle. Mundy jouant les grands héros et défendant la jeune femme quand son Pokémon n'était qu'un pauvre Barpau. Et un nom. Virae Von Lisemburg. Un nom qui le suivrait toute sa vie. Il n'avait que quatorze ans quand il s'avança vers la jeune fille qui partageait son voyage. Il avait quatorze ans des rêves pleins la tête et surtout cette fille dans les yeux et dans le coeur. Et il ne savait comment lui dire à cette jeune fille à la chevelure de feu ce qu'il ressentait. Plus que de l'amitié, plus que de l'amour. Comme si on avait enfin décidé à le rendre complet.

« Virae ... Tu penses qu'on ira où comme ça ?
- Le plus loin possible ... Tant que tu restes avec moi et que tu essayes de ne plus m'agresser avec ton Leviator ...
- Désolé ... Et c'est quoi pour toi le plus loin ?
- Notre mort ?
- Ensemble alors. »

Ce n'était que des mots d'enfants, ou d'adolescents trop jeunes, mais c'était ces mots là qui marquèrent la vie d'Edmund Conelly et de Virae future Conelly. Tous deux de bons dresseurs, tous deux des champions dans l'âme. La jeune Virae se fit vite acceptée par la famille Conelly et par le frère de Mundy, Seth, mais son coeur ne pouvait que décemment peu rester au Kanto après avoir tant parcouru la région de Sinnoh. Alors après plusieurs années à vivre au Kanto, à avoir connu la charmante Kristen et vu la naissance de Morphée, le nouveau couple retourna à Sinnoh, non sans s'être marié à Carmin-Sur-Mer pour pouvoir faire un mariage familiale. Virae n'ayant plus de nouvelles de sa famille depuis bien longtemps, ceux-ci n'acceptant pas qu'elle soit dresseuse Pokémon, elle n'avait eu aucun problème à se marier sans leur présence. Leur retour à Sinnoh se fit sans grand problème. Une maison à Feli-Cité, lieu de leur rencontre de leur amour, et lieu de naissance de la petite Pacific. C'était étrange pour Edmund de se retrouver sur une chaise à attendre sans qu'il n'ait le droit de voir sa femme. C'était sa femme bon dieu, mais les infirmières ne l'entendaient pas de cette oreille. Huit heures. Huit heures avant qu'il ne puisse voir la petite merveille qui lui servait de fille.

« Blue ... Je veux qu'elle s'appelle Blue !!
- Non Mundy ... Et si ses yeux changent de couleur ?
- En deuxième prénom alors ... Elle est si calme ...
- Pacific ... »

Un nom. Pacific. La paix, le calme. Et l'eau.
Une famille liée par l'eau. Pacific Blue Conelly.

Edmund Conelly : « Pacific n'avait jamais été une personne de choix. A chaque fois qu'il lui fallait prendre une grande décision, elle repoussait encore et encore l'échéance jusqu'au moment où, enfin, elle n'avait plus le choix de peur de se tromper. Seul Morphée au début avait vraiment compris comment elle marchait et qu'il fallait la pousser constamment en dehors de ses retranchements. Elle était douée pour ça … »

Chapitre 2 : Si la liberté grise, la famille rassure.

« Pacific, voici ta cousine Morphée. Dis bonjour ma puce.
- Feee !! »

Une rencontre, deux jeunes filles. Pacific trois ans, Morphée cinq ans. Deux cousines, le même nom, une amitié. Depuis la naissance de Pacific, Edmund l'aurait admis sans mal mais avec regret, il ne pouvait plus passer autant de temps au Kanto pour voir sa nièce et son frère de même que la femme de celui-ci. Alors il avait dû attendre. Attendre que Pacific tienne sur ses pattes, qu'elle arrête de s'accrocher à Marill pour marcher, et d'essayer de voler sur le dos d'Altaria à défaut de vouloir dormir pour pouvoir présenter la douce Pacific à la petite Morphée. C'était une drôle de rencontre. Pacific avait toujours le pas hésitant pour aller voir les gens, et elle n'avait pas hésité à se cacher derrière le Demolosse de sa mère, de peur de sa cousine. Mais la cousine était venue la chercher, et une amitié était née, solide, et indestructible. Au départ, juste deux mains liées, quelques mots et c'était déjà pas mal. Une complicité d'enfant. Des sourires chaleureux, le même sourire, le même pétillement dans les yeux. Un magnifique départ. Après il ne fut pas rare de voir la jeune Pacific rester une semaine ou deux chez sa cousine, l'observant, essayant de devenir comme elle. Pour elle sa première impression du haut de ses trois ans ne l'avait pas quitté. Morphée était une Fée. Une fée aquatique qui savait lui redonner le sourire. Morphée qui lui avait tout enseigné, d'abord comment s'occuper d'un Pokémon comment marchait le Pokédex de Papa et Maman, comment utiliser une Pokeball, à quoi servaient les badges, ce qu'était un champion. Des jours et des jours à parler des Pokémons tout en continuant à parler de la vie. Puis vint le jour où Morphée eut son premier Pokémon. Ptitard. Le jour où Pacific décida que elle aussi elle voulait un Pokémon, le sourire et la joie de sa cousine restant gravés dans sa tête. Morphée son modèle, Morphée celle qu'elle admirait le plus au monde, et c'est sans doute encore le cas aujourd'hui.

« Maman ... J'aurais un Pokémon moi aussi ?
- Bien sûr, à tes dix ans ma puce, attend encore un peu. »

Et elle avait attendu. Elle avait attendu allant souvent voir Morphée et son nouvel ami, la regardant s'amuser avec, s'en occupant parfois sous la garde de sa cousine. Les Conelly étaient famille. Si Pacific venait souvent dans le Kanto, l'inverse valait également. Il n'était pas rare à Feli-Cité de voir les deux cousines ensembles, le Ptitard de la plus grande avec elles, arpentant la ville. Et puis vint le mois de janvier. Le mois précédent ses dix ans. Alors qu'elle pensait aller voir Morphée comme à son habitude, son père ne l'amena pas jusqu'au Ferry non. Il l'accompagna chez le professeur Sorbier. Des yeux pétillants, des mercis prononcés encore et encore. Elle devait faire le choix de son Pokémon. Mais quel choix. Elle ne savait même pas quel genre elle préférait. Feu ou Eau, ou encore Psy, ou peut-être Dragon, ou Électrique ... Elle ne savait pas quel choix faire, alors les réprimandes de Morphée lui étaient revenues en tête et la petite princesse blonde avait fait un choix. Feu, Dragon et Eau. Feu pour la beauté et la puissance, Dragon par rapport aux premiers Pokémons de ses parents, et eau parce que la famille Conelly était bercée par celle-ci depuis toujours. Et vint encore un nouveau choix. Gauche, droite, milieu. Elle ferma les yeux et prit la gauche. Un instant plus tard, elle se trouvait avec un mignon petit Poussifeu dans ses bras. Bien sûr elle avait vu la déception de son père vu qu'elle n'avait pas eu de Pokémon eau, mais la fierté était bien plus importante dans les yeux de celui-ci pour qu'elle s'en soucie.

« Tu as une autre cousine, Paci, mon coeur.
- Ah bon ? Du côté de Maman ?
- Non, elle s'appelle Sixteen, c'est la demi-sœur de Morphée. Elle vit dans la région de Hoenn. »

Une drôle de nouvelle. Dans une conversation banale avant de reparler de ce qu'on mangera au diner. Ne pas juger la famille, Oncle Seth était libre de ses choix. Au début elle ne savait pas quoi faire. Elle était encore jeune, comment devait-elle faire. Alors elle commença à envoyer des lettres à la jeune fille. C'était enfantin mais c'était tout ce qu'elle pouvait faire pour cette cousine inconnue. Morphée lui avait parlé d'une fille qu'elle adorait, nommée Sixteen, mais elle n'avait jamais parlé d'elle comme sa soeur. Elle ne lui en parlait que peu comme sa soeur, mais ça ne la dérangeait pas. Parce qu'après tout les affaires de Sixteen et Morphée ne la regardaient pas. Elle alla à la rencontre de sa cousine deux ou trois fois, mais sans plus. Après tout, elle avait son voyage Pokémon à commencer, et le peu qu'elle avait vu de sa deuxième cousine avait réussi à faire d'elle une bonne amie. Alors un beau jour, elle se décida à commencer son voyage dans Sinnoh et à devenir une grande dresseuse comme ses parents. Première étape les badges de sa région, et donc celui de la ville qui se trouvait non loin de Feli-Cité, Joliberges.

Pacific Blue Conelly : « Dire que Jansehn était parfait serait mentir. Dire qu'il était malhonnête serait une ineptie. Dire qu'il m'aimait, une évidence. Mais dire que s'appeler Wellington aurait du rimer avec arriver toujours à ses fins était plutôt juste. Malheureusement, c'est le genre de choses qu'on apprend qu'à ses dépends… »

Chapitre 3 : Si tu n'peux pas sortir quelqu'un de ta tête c'est peut être parce qu'il est supposé y rester.

Elle n'avait pas dépassé les vingts ans quand elle Le rencontra. A peine considérée comme une adulte, quatre badges sur huit et un nouveau Pokémon. Noctali. Une drôle d'histoire ce Noctali, un dresseur qui maltraitait un Evoli, elle qui envoya son Galifeu au combat contre toute l'équipe de l'autre dresseur. Elle avait gagné, un Evoli qui avait évolué dans ses bras en Noctali sans doute à cause du bonheur d'être libre de la tyrannie de son ancien maître. Pacific n'avait pas capturé d'autres Pokémons pour l'instant s'occupant de son Galifeu anciennement Poussifeu, pour le faire évoluer, et pour qu'il ait les meilleurs capacités. Et ce fut lui l'élément déclencheur de cette rencontre. Alors qu'elle se rendait à Celestia pour aller à Vestigion, et donc traverser le Mont Couronné, sa vie changea. Et au détour d'un chemin son Galifeu fit la rencontre d'un autre Galifeu. Et notre Pacific fit la rencontre qui changea sa vie. Jansehn. Un nom. Un nom qu'elle n'aurait que plus tard, alors qu'ils faisaient route ensemble au début dans le silence, ayant le même but, l'arène de Vestigion. Une étrange rencontre. Une rencontre qui amènerait les rires et les larmes, la joie comme les pleurs, le tout bercé par le vent.

« Tu t’appelles ?
- Jansehn Wellington
- Pacific Conelly »

Le début d'une amitié. Elle aimait ce côté gagnant et persévérant qu'il avait. Elle aimait son sourire ravageur, sa façon de remettre ses cheveux en place. Elle aimait sa présence. Au début comme un ami. Au début comme un compagnon de voyage. A son âge elle ne comprenait pas grand chose à l'amour, enfin elle refusait d'y croire au vrai amour. Et pourtant. On pourra dire ce qu'on voudra, mais tant qu'on n'a pas trouvé le bon garçon, celui qui fait battre notre cœur plus vite et fait naître des papillons au creux de notre vente, on ne sait rien. On parle, on s'agite, on s'excite. On essaye, tant qu'on peut, de préserver les apparences mais dès qu'on relâche la garde, on parle et on s'agite. Puis on s'agite tellement que le superflu s'en va et qu'il ne reste plus que votre conscience, badine, adorant vous rappeler que vous ne savez pas, non, mais que vous pourriez savoir si vous vous en donniez la peine. Malheureusement, c'est le genre de choses dont on ne se rend compte que trop tard. Assurément. Elle ne voulait pas savoir. Elle ne voulait pas connaître l'amour se contentant de vivre en temps qu'ami. Les choses se feraient toutes seules, ou ne se feraient pas. Elle n'était pas femme de choix rappelez-vous. Et elle avait tout enchainé avec lui. Sur un coup de tête elle avait teint ses cheveux en brun, elle avait rit de la tête du garçon à la vue de sa nouvelle couleur. Elle avait douté, elle avait gagné comme perdue. Ils s'étaient attardés dans des villes. Ils avaient goûtés à la vie. Ils avaient grandis ensemble se rapprochant toujours un peu plus. Partager le même lit sous le prétexte du froid, se battre pour la couverture parce que Pacific trouvait que Jan' bougeait un peu trop. Des Pokémons étudiés ensemble, la région arpentée encore et encore. Et de fausses promesses également.

« On se mariera plus tard, hein ?
- Bah oui idiote ! T’es la seule…
- La seule quoi ? - Rien, oublie ! »

De drôle de rapprochements. Une amitié fraternelle. Sans doute de quoi cacher le vrai sens de leur amitié. Amour. Un mot absent de leur vocabulaire. Ils ne parlaient pas d'eux, ils vivaient tout simplement. Un mariage sous hypothèse. Elle aimait croire à ce drôle de futur caché sous leur sourire et leur rire. Elle était la seule. La seule de quoi elle ne savait pas, mais être la seule dans n'importe quelle catégorie pour Jansehn aux yeux de Paci' était bel et bien suffisant pour son bonheur. Puis vint le moment de se poser. Se poser à cause d'une nouvelle. Une drôle de nouvelle étrange en soit. Pacific était malade, enfin le croyait-elle. Le nombre de fois où ils avaient dû repousser son départ à cause de nausées, pour cause de nourritures mal supportés. Le nombre de fois où elle avait entendu le rire de Wellington quand elle était à genoux devant les toilettes, et qu'il disait qu'elle ne supportait plus sa présence. Elle n'aurait jamais pu penser cela. La présence de Jansehn était sa vie. Elle le réalisait enfin. Dans les lettres pour ses parents, elle ne parlait que de lui. De leur amitié qui s'était transformé en amour, de leur relation qui était devenu couple, de leurs histoires sous les draps, de leurs jeux qui finissaient toujours étrangement. Elle aimait Jansehn, et passer sa vie avec lui ne la dérangeait pas. Jusqu'aux nausées, jusqu'au médecin et à l'annonce.

« Mademoiselle Conelly, vous êtes enceinte de cinq semaines, félicitations.
- Ah ... »

Elle n'avait pu dire que ça. Ah. Parce qu'elle connaissait Jansehn et son goût de liberté, parce que leur relation se basait sur la journée même. Parce qu'elle avait parlé de mariage un jour, mais que le sujet n'avait plus jamais été abordé. Alors elle retourna voir Jansehn, et lâcha la bombe. Enceinte. Elle s'attendait presque à avorter si elle pouvait garder Jansehn. Mauvaise mère. Mais mère amoureuse. Mais Jansehn accepta. Ils s'installèrent à Celestia. Un retour sur les souvenirs. Leur rencontre, leur consécration. Un peu comme ses parents qui gardaient de ses nouvelles. Elle entendit les pleurs de sa mère au téléphone, et les félicitations de son père. Une nouvelle vie. Quitte à arrêter de dresser les Pokémons de son côté. Parce qu'elle était une mère amoureuse. Et parce qu'elle portait l'enfant de l'homme qu'elle aimait. Elle avait prévenue sa cousine Morphée, de sa relation avec Jansehn, elle voulait lui faire la surprise en lui montrant son enfant plus tard. Pacific était une femme comblée du haut de ses vingt ans. Elle l'était ... Mais pas pour longtemps.

Médecin de Pacific : « Mademoiselle Conelly a toujours eu cette faculté de s'attacher à ceux qu'elle aimait. Je pense que la perte d'un être chère était ce qui l'angoissait le plus. Alors je ne pouvais m'empêcher de penser : Que deviendrait le cœur de Pacific si le fil de tension venait à céder ? »

Chapitre 4 : Vivre d'amour, d'Evian, et de Marlboro Light. Et croire que ça suffit. Ça ne suffisait pas.

Etrangement on n'aurait jamais qualifié Pacific de naïve. Mais sa naïveté était venue avec sa passion et son côté tendre qu'elle avait toujours eu. Une fois qu'elle s'accrochait à quelqu'un, c'était foutu, elle était accro et dépendante, malgré cette liberté qu'elle mettait en avant. Elle aimait sans doute Jansehn plus que sa vie, tout comme elle aimait l'enfant qui grandissait dans son ventre. Alors naïvement elle avait cru que sa vie deviendrait un conte de fée, que Jansehn serait toujours là pour elle. Elle y croyait naïvement et pourtant elle le voyait s'éloigner. Il s'éloignait dans son monde de Pokémon, mais elle avait confiance. Elle aurait toujours confiance en lui, et pensait qu'il reviendrait. Ne pas s'inquiéter, le laisser gagner des badges, partir plus loin pour toujours revenir. Le voir de moins en moins, mais ne pas s'inquiéter. Ils étaient un couple. Ils attendaient un enfant, ils vivaient ensemble, Jan' ne pouvait pas la quitter. Elle essayait de s'en convaincre. Elle essayait de toutes ses forces. Mais souvent le doute la prenait. Et s’il ne revenait pas ? Et s’il l'abandonnait ici ? Non se taire, s'occuper de décorer la chambre de bébé avec les nouveaux objets offert par Papa et Maman. Jusqu'à ce jour. Ce drôle de jour où tout s'effondra. Une douleur au ventre depuis le matin. Ne pas y penser, prendre des cachets, et attendre patiemment le retour de Jansehn le soir. Il lui avait promit de revenir. Elle avait promit de l'attendre. Après tout à sept mois et demi de grossesse, on ne bouge pas partout. Attendre et murmurer des chansons pour leur enfant sous le regard de Noctali installé près du chauffage.

« Tu verras mon coeur ... Papa va arriver et bientôt tu nous rejoindras.
- Noctaliiii ...
- Voui Noctali, je vais bien, toi aussi tu as hâte de le voir mon bébé hein ... Attend, je vais te chercher des baies dans la cuisine. »

Sans doute le geste de trop. Sans doute. Elle se leva en grimaçant, et ne pu faire que quelques pas, avant de s'écrouler ses jambes ne la portant plus. Douleur au ventre, douleur encore et toujours ce mot. Elle tenait son ventre de ses bras, hurlant le nom de Jansehn, mais Jansehn ne venait pas. Absent. Pas là. Alors elle pleurait. Allongée, au sol, elle pleurait serrant son ventre. Elle se sentait si mal, si nauséeuse. Et tout ce sang ... Sang ? Dans un état de léthargie, elle serra un peu plus son ventre. Elle avait compris. Elle perdait son enfant, non l'enfant de Jansehn, le leur, elle était en train de le perdre, alors elle serrait son ventre dans cette espoir vain de le garder en elle. Ne me l'enlever pas criait-elle, délirante, la fièvre la prenant, entre deux Jansehn. Mais les hurlements cessèrent, et la jeune fille ferma les yeux, les larmes se mêlant au sang sur sa robe de printemps blanche. Elle ne ferma les yeux que pour les rouvrir dans une chambre blanche, Jansehn écroulé à ses côtés. Machinalement, elle caressa les cheveux de l'homme de sa vie. Il pleurait. Il pleurait et elle ne comprenait pas. Elle allait bien. Ce n'était qu'une crise rien d'autre. Jusqu'au moment où les mains de Jan' se posèrent sur celle de Pacific, amenant celles-ci à son ventre. Et elle comprit. Le ventre plat. Plus de battements de coeur. Plus de coups de pieds. Il n'était plus là. Parti. Mort. Mort. Non. Tout son esprit hurlait, alors qu'elle pleurait silencieusement avec Jansehn. Elle avait perdu son enfant. Perdu. On lui avait enlevé. Le destin l'avait privé de cet être qu'elle attendait ardemment. Il ne lui restait qu'un mois et demi à attendre. Elle n'avait plus besoin d'attendre. Il était parti.

« Je veux le voir ...
- Pacific ... Tu ne le supporterais pas.
- Laisse-moi le voir Jansehn !! C'est notre enfant !! Il ne peut pas partir comme ça !! J'ai besoin de le voir !! Jan' !! Je veux qu'on me rende notre enfant !! Jan !! Dis-leur que ce n’est pas drôle !! Dis-leur que c'est notre enfant !! »

C'était deux trois jours après, Pacific se tenait toujours à l'hôpital, elle aimait toujours Jansehn à la folie, mais la perte de son enfant la rendait instable, surtout qu'on lui refusait l'entrée de la morgue, ou plutôt Jan' refusait qu'elle voit cela. Mais il céda. Il fallait que Pacific accepte la mort de son enfant disait-on. Il fallait beaucoup de chose. Mais devant le corps de son enfant, encore fragile, qu'on avait sorti mort de son ventre, elle ne put tenir. Les larmes brouillaient ses yeux. Mais qui y avait-il à voir ? Qui y avait-il à voir dans cette pièce ? Dans cette pièce trop claire et trop glauque ? Jansehn la tenait dans ses bras, serrant fermement ses mains sur ses épaules, pour la protéger. La protéger et la retenir sans doute. Il pleurait. A nouveau il pleurait. Et elle ? Devant ce spectacle comment pouvait-elle tenir, voir l'homme qu'elle aimait, effondré, et son enfant mort dans un berceau, ici dans la morgue ? Lâche. A ce moment, elle n'avait qu'une idée en tête. Fuir. Fuir hors de cette prison rassurante qu'était les bras de Jansehn, et de ses quatre murs qui contenaient l'horreur sous une odeur de médicament bien trop forte. Jansehn voulut la rattraper en vain. Ses larmes la faisaient trébucher dans les escaliers, mais son corps, guidé par les réflexes et les habitudes, empêchait toujours la chute. Elle aurait voulu être sourde à ce moment là, sourde de l'intérieur, et ne plus entendre les plaintes déchirante de son coeur qui se répercutaient sur les murs, se cognaient contre les plafonds et lui écorchaient les tympans. Elle hurlait, pleurait et s'abaissait. Elle n'était pas une fille forte. Elle ne pouvait pas l'être. Puis se taire. Le silence était bien plus douloureux que les hurlements. Elle s'arrêta un instant. Ses jambes ne la portaient plus, elles refusaient. Son cœur refusait de battre, c'était pire que cette autarcie dans laquelle elle s'était plongée dans l'attente de son enfant. Ses poumons refusaient presque l'air. C'était horrible. Mal, toujours mal. Et ne pas vouloir admettre cette vérité. Il était mort. Machinalement, ses mains se portaient à sa bouche pour étouffer ce cri de douleur. Qu'il ne s'échappe pas, qu'on taise sa douleur, qu'il la sauve. Tout son être appelait Jansehn tandis qu'elle le repoussait pour ne pas qu'il souffre plus.

« Il. Est. Mort. »

Son centre de gravité bascula. S'adossant contre le mur, elle perdit l'équilibre, si elle tombait ça ne changera rien pensait-elle. Il faudrait mieux qu'elle tombe, mourir et tout oublier. Pas de chute mortelle, rien. Juste le sol froid du couloir. Elle ne sentait plus ses os, plus rien. Effondrée. Là contre ce mur, elle souhaitait la mort ou au moins l'oubli parce que la pensée de Jansehn l'attendant la retenait toujours, là contre ce mur elle n'espérait plus rien. Plus d'envie, plus de force. Attendre, laisser la mort venir. Venir comme elle était venu pour lui. Son enfant. Accepter l'impensable. Se laisser croupir sans rien espérer. Parce qu'il n'était plus là. Elle veut abandonner. Tellement fatiguée. Tellement trop. Il ne reviendra pas, il n'y avait plus d'espoir. C'était fini. Comment faire taire cette déchirure ? Elle avait cette impression que quelqu’un s’était amusé à taillader son cœur, mais pas assez pour l'achever. Coeur exsangue, les larmes brulaient ses yeux, mais ne coulaient pas ou plus. Parti. Aucun mot pour l'expliquer, l'absence le vide. Fini. Plus rien à dire, ou à faire. Le jeu est fini. On a perdu. Cafouillé, merdé, on s'est planté. Aussi violent que c'était imprévu. Elle ne voulait pas ça. Elle voulait que son rêve de famille dure plus longtemps. Il aurait du durer plus longtemps. Incompréhension. Où était l’erreur ? Mort. Assez. Elle n'en pouvait plus. Elle ne pouvait pas pleurer non plus, elle ne pouvait plus, parce qu'il n'y avait plus rien à pleurer. Un cadavre. Mort, mort et encore mort, aussi blanc que la chambre, les lèvres bleuis, les yeux fermés. Un enfant qui ne vivra pas. Son enfant. Non elle ne voulait pas y penser. Assise au sol dans ce couloir d'hôpital, elle pleurait enfin. Les larmes coulaient à nouveau, et elle pleurait son enfant, la mort de son amour, la perte d'une partie de son coeur également. La perte d'une vie. La sienne, celle de Jansehn également. Il ne reviendrait pas. Il ne reviendrait jamais. Mort, mort, et elle, elle vivait. Elle vivait pour Jansehn, pour son amour, mais elle l'avait perdu lui, son ange, son enfant, son tendre amour, sa moitié de tout, de rien.

Mort.

Pacific Blue Conelly : « Jansehn… C'est tellement étrange d'écrire ce nom. Il signifiait tellement pour moi. J'avais placé tous mes espoirs, tous mes rêves, toutes mes attentes en lui. Il… Il a toujours eu cette fabuleuse et horrible capacité de passé du tout au rien en un instant. Un jour, il était gentil, le lendemain si distant. Un jour, il brillait d'humour et de bonne humeur, et celui d'après faisait peur à un candidat suicide. Une heure il s'excusait, et la suivante criait. Un jour, il m'aimait et l'autre … Il disparut. »

Chapitre 5 : Un évènement n’arrive jamais seul.

Elle était rentrée de l'hôpital deux semaines après sa fausse couche. Elle était rentrée juste après l'enterrement, en privé où elle n'avait pas pleuré, où sous la pluie elle avait attendu qu'on les laisse entrer, où elle avait regardé le petit caveau se faire brûler par des flammes parce qu'elle refusait d'enterrer son enfant dans le sol, après une cérémonie. Il n'y avait eu que Jansehn et elle. Ils avaient regardé les flammes en silence, et elle avait prié pour son enfant. Parce qu'il devait vivre dans les airs, vivre dans le monde que son père Jan' aimait tant, ce monde qu'elle avait parcouru avec lui encore et encore. Elle n'avait pas pleuré. Toutes ses larmes étaient restées dans l'hôpital, dans ce couloir où Jansehn l'avait ramassé, dans les bras de cet homme qui avait la même douleur qu'elle. Alors aphone, éteinte, elle avait regardé son enfant disparaitre avant qu'on ne lui donne une urne avec les cendres de son enfant. Elle avait tiré Jansehn en haut du Mont Couronné et avait dissipé les cendres. Et c'était tout. Plus d'enfant, plus de grossesse, plus rien. Il était parti pour de bon. Et elle devait réapprendre à vivre. Réapprendre à vivre et à ne pas se laisser sombrer. Se dire que c'était une chance qu'on lui donnait. Elle aurait pu mourir de sa fausse couche, elle aurait pu ... Le conditionnel la rendait chèvre, parce qu'il y avait également cette hypothèse « Mon enfant aurait pu survivre. » Mais elle ne disait rien, et essayait de se remettre à vivre. Embrasser Jansehn, lui sourire doucement, s'occuper de l'appartement, entrainer son Galifeu devenu récemment un Brasegali. Vivre dans un monde qui n'est pas le sien, dans une bulle d'un bonheur factice, mais vivre.

« Jan', ne m'abandonne pas. »

De drôle de paroles. Des paroles d'une fille désespérée. Candidate au suicide. Pourquoi pas. Elle avait eu des crises. Elle en avait cassé des assiettes. Elle avait tué le téléphone pour ne plus entendre ses parents lui demandant pour quand était prévu l'heureux évènement. Elle avait barricadé la chambre de bébé, elle avait éventré les peluches de son futur enfant, elle avait tout fait pour oublier le tragique accident. Mais une chose était sûr, elle aimait toujours Jansehn. Sa bouée, son amour. Mais Jansehn n'y pouvait rien. Elle voyait son enfant, le leur. Elle ne cessait de le voir. Elle ne voulait plus sortir dans ce village tranquille parce que la voisine de l'immeuble d'en face avait eu un enfant et pas elle, parce que passer dans le rayon enfant du centre commercial lui arrachait des sanglots. Alors elle restait à la maison, et attendait le retour de Jansehn. Elle attendait, souvent appuyé contre la baie vitré qui menait sur le balcon, regardant le ciel, à la recherche d'un signe. Elle attendait patiente, sans rien faire. Sans même plus tenter de mettre fin à ses jours. Parce que son amour avait caché les lames, les ciseaux, parce qu'il avait peur quand elle hurlait désespéré que son enfant était si seul, et qu'il avait besoin d'elle. Elle attendait, parfois son regard s'attardant sur ses poignets. Elle attendait que la vie revienne. Mais elle ne revint pas.

« Jan' ? ... Jan' ?!! Jansehn !! »

Des bruits de pas. Pacific qui courrait dans tous l'appartement, qui ouvrait toutes les armoires, toutes les portes. Mais il était parti. Jansehn venait de partir l'abandonnant. A nouveau elle se laissa tomber, dans la chambre d'enfant qu'elle avait rouvert pensant peut-être le trouver. Au milieu d'un landau vide renversé, de peluches éventrés, et d'échographies poussiéreuses laissées sur le sol, elle hurla le nom de Jansehn. Elle hurla, pleura. La répétition d'une mauvaise scène. Elle ne voulait pas encore vivre ça. La perte d'un être chère. Elle ne voulait pas vivre ça encore et encore. Elle avait assez souffert. Alors elle attendit. Assise en plein milieu de la chambre de son enfant, serrant un lapin éventré, elle attendit. Un jour. Deux jours. Un mois. Elle attendit. Mais il ne revint pas. Alors elle dut se faire un raison. Il était parti et c'était de sa faute. Elle n'avait pas réussi à le retenir. Elle l'avait enfermé dans son monde distordu, et elle avait eu tort. Parti. Lui aussi était parti. De nouveau le vide, le Néant, une nouvelle plaie à rajouter à son coeur. Un nouvel enterrement à faire. Celui de son amour. Oublier, oublier. Encore oublier, évacuer les larmes, la douleur, la solitude.

« Pacific, mon coeur ... Où est Jansehn ?
- Parti ...
- Mais où est ton enfant Paci ? Tu es si maigre, tu as du bien récupérer de l'accouchement non ? Pourquoi tu ne me l'as pas dis ?
- Parti ... »

La sentence tomba pour la mère de Pacific venue voir sa fille. Elle tomba aussi bien pour Virae Conelly que pour Pacific qui admettait enfin l'impensable. Il y eut des larmes ce jour là pour la mort de cet enfant, des cris de colère de la part de sa mère qui ne comprenait pas l'attitude de Jansehn, des cris de désespoir de la part de Pacific qui défendait encore et toujours Jansehn au nom de l'amour, et il y eut le réconfort. Des gifles se perdirent aussi quand sa mère apprit qu'elle avait voulu mettre fin à ses jours plusieurs fois après le départ de Jansehn, que les poignets qu'il embrassait avec amour étaient les hôtes de nombreuses coupures. Il y eut d'autres scènes comme celle-là. Edmund Conelly essayant de ramener sa fille à la maison, au lieu qu'elle continue à vivre dans un endroit qui la faisait autant souffrir. Mais Pacific refusait de le suivre. Parce que quitter cette maison, c'était admettre qu'il n'y avait rien eu et tout oublier. Même si elle avait ardemment désiré oublier, aujourd'hui elle ne pouvait plus. Elle voulait se rappeler de Jansehn, elle voulait le voir, le comprendre, avoir des explications et peut-être enfin oublier. Aujourd'hui Pacific n'est sans doute plus aussi dépressive. Nostalgique, mais elle survit et s'est remit à vivre. Vivre, tourner la page, sourire, redevenir comme avant. Un but qu'elle s'est donné. Un but qu'elle réalisa. Elle habite toujours à Celestia, elle a toujours le même appartement, mais les affaires pour bébé ont été rangé au grenier, et elle ne pleure plus cet enfant mort. Elle ne pleure plus personne, elle sourit, rit, chante, s'amuse. Parce qu'elle veut redevenir la Pacific qu'Il aima. Parce que sinon il ne reviendra pas. Et elle a décidé de remuer ciel et terre pour retrouver celui qu'elle aima plus que sa vie. Jansehn G. Wellington.

• Flora ou Aurore ? Flora ~
• Dresseur ou Coordinateur ? Dresseur
• Trempette ou sécrétion ? Trempette.
• Psykokwak ou Qulbutoké ? Psykokwak @_@
• Que penses-tu de Ronflex ? Un parfait oreiller (a)
• As-tu pleuré devant le Premier film de Pokémon? Vouiii ;___;
• Pour toi, Tentacool est ... Etrange. O_o
• Pokémon, quand as tu commencé ? Quand la première saison est passée à la télé.
• World filled with Pokémon ou Pikachu (6) ? WFWP <3 Ca roxxe <3
• Tu as vu le premier épisode ? Bien sûr =O
• Ça te dit de voir un Spinda dans un jacuzzi ? Pourquoi pas.
• T'aimerais te faire draguer par Pierre ? Pas vraiment n__n
• Pokemon mignon ou pokemon costaud ? Mignon *.*
• Sacha-Ondine, ou Sacha-Pikachu ? Sacha-Pikachu <3
• Penses-tu que tu ferais un bon Lokhlass ? Hum, si il s'agit de faire trempette dans l'eau tous les jours, sans problème. =)

dis nous, c'est quoi ton prénom ? Arisu ~ Enfin, le vrai prénom est inconnue, ma maman me l'a pas dit =O
et t'as quel âge ? : (je te parie que je suis plus vieille que toi) 19 ans ~
et sinon c'est qui la personne sur ton avatar ? Jessica Szohr
nous on voudrait tout savoir, alors dis nous comment tu es arrivé sur le forum DC ~
à part ça, tu trouves qu'il est comment le forum ? Il est beautiful, wonderful, et tous les adjectifs en ful
si ton personnage est réservé, donne nous ton code héhé on fait partie de la police Nope ~
sinon t'es beaucoup occupé dans la semaine ? tu penses que tu peux venir combien de jours sur le forum ? Hum une présence de 7/7 sauf si vacances et tout et tout ~
t'aimes bien les pokémon ? Naon =O Je surkiffe x)
et sinon le mot de la fin monsieur le président ? Dadoum est à mwa ? o.o *dehors*

Bienvenue
Il nous faudra un lien heiiiiiiiiin ?

Merci ~
Et pour le lien, c'est sans problème (a)

DC ? Mais qui est-ce :o ?
ReBienvenue, chère cousine :)
Dadoum est à moi

Ah ah Mystère ~

Merci Cousine (a)

Et puis quoi encore =O
J'ai pris, je garde =O

*dehors*

ReSankyuuuu

Erreur =O
Il aime Pacific c'est tout =O

C'est qui ?

Non, mais non. C'est trop pas vrai Sixtiiine :o
On devrait peut être arrêter de flooder, non ?

Aaah tu crois ? (a)
Hum mon affection, mais pas Dadoum xD

Il a fait un enfant à Pacific =O
Donc il l'aime <3
*bon d'accord une fausse couche*

Vouais ~
Enfin merci pour les bienvenues

Re-bienvenue cher DC mystérieux (a) quoique je pense savoir qui est là x)
Amuse-toi bien & n'hésite pas si tu as des questions =p

Merciiii
*mon identité restera secrète, ou presque =O*

... OMG, heureusement que je sors IRL avec lui dans sa demeure californienne. Hun.
Bienvenue cousine (T'es une sexe machine ... j'leur casse le jean)

Jansehn G. Wellington arrive les mains dans les poches
Saluuuuut les filles (8)

Bienvenue Pacific

Morphée
Sankyuuu <3

DADOUM
*achevée par le bonhomme*
Merciiii

Sasha H. Marshall a écrit:

C'est quoi ce petit truc avec Dadoum, là? :d Bienvenue à toi, Pacific ;) Un lien ne serait pas refusable :D *je sors*

C'est la F.O.L.I.E avec Dadoum sur WFWP :PP
Donc Rebienvenue

Parce que Dadoum il roxxe
*Et puis m'en fous, il m'appartient un peu ~*

Sankyuu Sacha, le lien sera accepté avec plaisir (a)

Merciii Aeron
*pensée de la joueuse : Miloooooo *

*OUT*

OMG je parle au nom de Dadoum :) A part quelques petites erreurs que je t'ai précisé l'histoire est hallucinante ... T'écris bien Merci d'avoir respecté Pacific

Merci
J'ai modifié ~

Donc normalement j'ai fini (a)