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POKETEAM

Meryl Jackson

ÂGE - 20 ans
DATE DE NAISSANCE - 03-03-90
VILLE DE NAISSANCE - Miami.
REGION DE DEPART - Archipel Orange
MÉTIER - Dresseur ?
STARTER - Aucun pour le moment

Loyale - Rancunière - Drôle - Jalouse - Serviable - Têtue - Généreuse - Mauvaise perdante - Tactile - Susceptible - Indulgente - Culpabilise très vite.

♠ dis nous, c'est quoi ton prénom ? Satine
♠ et t'as quel âge ? : (je te parie que je suis plus vieille que toi) 20 ans.
♠ et sinon c'est qui la personne sur ton avatar ? So Yeon Park.
♠ nous on voudrait tout savoir, alors dis nous comment tu es arrivé sur le forum J'ai l'adresse depuis un bon moment, mais comme il y a beaucoup de membre j'avais peur que l'intégration soit difficile ...
♠ à part ça, tu trouves qu'il est comment le forum ? Il à l'air super !
♠ si ton personnage est réservé, donne nous ton code héhé on fait partie de la police /
♠ sinon t'es beaucoup occupé dans la semaine ? tu penses que tu peux venir combien de jours sur le forum ? présence (3/7)
♠ t'aimes bien les pokémon ? Vouii !
♠ et sinon le mot de la fin monsieur le président ? Quand j'ai vue : WFP j'ai pensé à : What the fuch with the pokemon ? Ok je sors ... x)

THERE WAS A TIME WHERE I HAVE NO ONE BUT MYSELF

« C’est assez difficile de vous dire qui je suis. Pour se définir, on parle souvent de nos origines, de nos parents, de notre appartenance à un lieu, une maison. Hélas, toutes ces questions ne peuvent être résolus pour ma part. Je ne me souviens plus de cette époque, mais on me raconta que j’étais comme de nombreux enfants : abandonnés dès leur naissance. On me retrouva dans un berceau, recouverte d’une couverture, devant la porte d’un orphelinat un soir d’été. Une seule lettre explicatif de la part de ma mère : « Son nom est Meryl. Dites lui que c’est l’association de mon prénom et de celui de son grand-père : Melody et Ryley. Prenez soin d’elle, je vous en pris. » Ce fût longtemps un morceau de papier, déchiré et vieilli par le temps, que je garda dans mes précieuses affaires. Ils ne retrouvèrent jamais ma vraie mère. Aucun acte de naissance, aucune preuve que j’existais et pourtant, j’étais bien là, seule dans un berceau en attendant mon destin. Je me suis toujours demandé à quoi elle ressemblait. Avait-elle les mêmes cheveux que moi ? Les mêmes yeux ? Ou était-ce ceux de mon père ? J’essayais en vain de tenter de savoir pourquoi elle m’avait abandonné. Était-elle une jeune mère célibataire et sans emploi, pour qui sa mère était tout pour elle ? Ou venait-elle perdre tout ce qu’elle avait : sa mère, son emploi, son copain et maintenant sa fille ? Était-elle en parfaite santé ? Ou avait-elle une maladie incurable ? C’était les seules hypothèses qui m’avaient traversés l’esprit. Aussi violentes qu’elles soient, j’espérais que c’était parce qu’elle n’avait pas le choix. Pour mon propre bien, pour ma propre survie, l’amour d’une mère pouvait tout faire, même si elle devait abandonner son enfant. Seulement, ils avaient tous beau dire que les enfants abandonnés n’aurait jamais de famille. Ce n’était pas mon cas. Quelques mois après, j'avais été adopté par un couple désireux d'avoir un enfant mais étant dans l'impossibilité d'en concevoir. Et bien que ce souvenir me semble si lointain et si flou, c'est ainsi que ma vie débuta, dans une merveilleuse maison, sur la côte de Miami. Je repense de temps en temps à ce que pourrais être ma vie avec ma mère biologique, mais cela ne dure que quelques instants parce que j'avais enfin trouver une maison bien à moi, avec des personnes qui m'aiment. Les gens se trompaient. Je n'allais pas rester seule et abandonnée toute ma vie, et bien qu'à l'époque je ne pouvais comprendre les circonstances, maintenant j'en suis consciente.

I'VE NEVER TELL IT TO ANYONE

- Attend, Meryl. Ce n’est pas ce que tu crois.
- Bien sur. Tu couches avec cette pétasse, mais c'est pas ce que je penses !
- Non... Attends, je t'aime Meryl.
- Gardes tes belles paroles pour celle qui est dans ton lit, moi je n'y crois plus !

La fête battait à son plein. La musique, l'alcool, les couples se faisaient. Tout le monde appréciait la soirée, appréciait la fin des partiels. Bref, elle s'annonçait plus que bien, mais pour ma part, la mienne venait de se réduire à néant. Je descendis les marches à tout allure, manquant presque de tomber. Je voulais fuir cette réalité, fuir cette trahison insoutenable. Les regrets de mon amour perdu, les nombreux moments passés ensemble me remontèrent en tête, et pourtant la vision de lui avec une autre fille balaya tout. Je ne su pourquoi mes larmes ne s'échappèrent, mes yeux étaient totalement secs, et pourtant, j'aurai bien laisser mon cœur explosé de ma poitrine s'il le pouvait. Un bruit assourdissant est soudainement apparu. Était-ce les battements de la musique, tourné à fond ? Ou les battements de mon cœur ? La distinction était presque faible. Parmi la foule, je tentais de me faufiler sans que personnes ne me voies aussi fuyarde. Seulement, j'étais chargé de ramener Alana ce soir. N'ayant pas la voiture, elle me demandais à chaque fois de la ramener quand on allait à la même soirée. Et malgré le monde qu'il y avait dans la luxueuse maison, j'aurai mis ma main à couper. Elle était là où elle était toujours: sur une piste de danse. Me faufilant, je la trouva bien encerclée, toujours dans l'un de ses délires. Je me rapprocha et lui pris le bras.

- Lana. On s'en va !
- QUOI ?! Mais la soirée ne fait que commencer !
- Je ne te demande pas ton avis. On s'en va !

Continuant à la maintenir par le bras, je la tira en dehors de la foule pour qu'elle me suive. Je ne pouvais pas m'empêcher d'enfoncer mes ongles dans sa peau. Était-ce pour retenir mes larmes ou ma colère s'échappait-elle de cette manière ? A vrai dire, je ne savais pas mais cela ne lui plaisait plus.

- Meryl ! Calme toi ! Et Lâche moi !
- Pas tant qu'on sera dans la voiture !
- Je n'ai pas envie de rentrer !
- Oh que si ! Et tout de suite.

Je courais presque jusqu'à la voiture, suivis par Lana. Certains invités ne venait que d'arriver, après tout il n'était qu'une heure du matin. Mais pour moi, cela avait été la fin. La fin de tout. Cherchant mes clés rapidement dans mon sac, je les sortit et finalement ouvrit la voiture frénétiquement. Mon regard s'arrêta sur ma petite sœur, posté devant la voiture, les mains croisés sur la poitrine. Elle n'avait pas l'intention de bouger.

- Je ne montrais pas.
- Oh, si jeune fille. Sinon, tu te démerderas pour les prochaines fois à venir, en plus de trouver une excuse à nos parents.

Elle se tu mais son regard s'était desserré. Avait-je trouver un point faible ? Après tout, nous étions à 30 minutes de marche de la maison, et pour toutes les nombreuse fois où je la ramenais, elle tentait de peser le pour et le contre. Mais bizarrement, la soirée n'en valait plus la peine. Regardant derrière elle la maison encore bien animé, elle finit par entrer dans la voiture, énervée. Contente intérieurement, je la suivis. Faisant crisper les pneus, je lança la voiture à toute allure, regardant de le rétro Ryan qui venait à peine de sortir de la maison. On aurait pu en rester là. Du moins, avec Alana. Mais son attitude insolente parfois prends vite le dessus. En criant, elle s'exprima:

- Meryl, j'en ai marre de tes sauts d'humeurs ! Je pourrais au moins savoir ce qui se passe ?
- Ce ne sont pas tes oignons !
- A bon ? Tu me fais quitter la fête et ce n'est pas mes affaires ? Tu me prends pour une idiote ?
- J'en ai marre de ton attitude insolente ! Envers moi, nos parents et l'école. Grandis un peu !
- Envers nos parents ? Envers MES parents !

A cette phrase, une boule se forma dans ma gorge. Elle avait raison. Je n'étais qu'une rejetée, par ma mère, par ma famille adoptive, par Ryan. Je n'étais qu'un "déchet" que tout le monde finissait par m'abandonner. C'est alors que mes yeux finissent par craquer. Un flot de larmes vint brouiller ma vision, laissant la voiture filer à une vitesse peu raisonnable. Alana su qu'elle avait touché un point sensible et elle se sentait probablement mal à l'aise, seulement la connaissant, sa fierté ne pouvait l'admettre. Elle était comme ça, point. J'aurai préféré ne pas craquer devant elle, mais je n'arrivais plus à me contrôler. J'en avais assez de cette vie, assez qu'on me prenne pour un jouet rejetable quand on le voulez. Non, je n'arrivais plus à avancer et à ce moment même, je me senti infiniment seule. Aveugler par mes larmes, je ne voyais presque plus la route, et je n'avais probablement pas vu le feux rouge que je venais de griller et la camion qui arrivait droit sur nous. Ce n'est qu'à la dernière minute où de impressionnants phares vint nous aveugler du côté gauche de la voiture.

- MERYL ! ATTENTION !

C'était trop tard, le camion nous avait percuté de plein fouet. Je n'arrivais pas à décrire ce que je ressentais. De la douleur, de la peine, de l'inquiétude. Je me senti balancer dans de nombreux sens, ne pouvant même pas distinguer le haut et le bas. Mes yeux n'arrivait plus à suivre les mouvements de la voiture, et c'est dans un bruit assourdissant que je me rendis compte que la voiture faisait des tonneaux. A cause de la violence du choc, je sentis des fragments de métal me perforer la peau et laisser échapper un liquide chaud. Était-ce mon sang, qui se vidait sur mes vêtements ? La voiture finit par continuer à glisser et s'arrêta tout en percutant à poteau du côté passager. Une fois stabilisé, je pouvais enfin essayer de retourner à la réalité. Nous étions la tête en bas. Cependant, ma vision se floutait de plus en plus. J'aperçus vaguement des jambes courir vers nous pour nous secourir, et dans le silence qui commençait à régner dans ma conscience, je distinguais à peine les nombreux appels de Lana pour savoir si j'étais toujours vivante. Je ne sentais plus la douleur, je ne sentais plus mon poids me compresser à la ceinture de sécurité. Mes oreilles ne bourdonnaient plus et je su que même si les secours arrivaient, il était déjà trop tard pour moi. Je sombrais déjà dans l'inconscience.

NOBODY SAID IT WAS EASY, BUT I'M STILL TRYING

Je ne sais pas combien de temps je suis restée ainsi, et pourtant j’avais l’impression que cela faisait une éternité. Je ne cessais de tomber dans un trou noir, tentant de me retenir par de nombreuses fois à certains rochers, en vain. Je ne voyais qu’une simple lumière en face de moi, probablement l’entrée de ce long tunnel. Était-ce donc ca la mort ? Tomber infiniment sans pouvoir se reposer ? Et bien, on s’était bien fait arnaquer ! On nous avait toujours dit qu’une fois mort, on reverrait des êtres chers disparus. Où étaient-il ? M’avaient-ils eux aussi abandonné ? Une larme coula le long de ma joue, tandis que je tentais de hurler de rage. Ou bien de désespoir. A présent, je savais que le monde n’était parsemé que de grands hypocrites qui pour survivre jouait des rôles. Je comprenais à présent que beaucoup de monde m’avait regardé dans les yeux et m’avait dit des compliments. Foutaises ! Je n’étais pas un exemple. Je n’étais pas ce que les gens voyaient loin de là et cela commençait légèrement à me taper sur les nerfs. Après tout, j’aurai tant aimé être comme Alana. Une je m'en foutiste à souhait. Pas de prise de tête, pas d’hypocrisie. Juste la vérité et simplement la vérité. Sa vie semblait si simple comparée à la mienne. Elle profitait de sa jeunesse, chose que je n’avais pas fait depuis bien longtemps. Mais, maintenant à quoi bon regretter ma vie passée. Apparemment, je n’avais ni rejoints mes proches, ni le Paradis. Je tombais toujours et encore dans un grand néant, silencieux et terrifiant. Seule, je tentais de fermer les yeux pour apprécier ne serait-ce qu’un petit peu l’enfer dans lequel je tombais. Seulement, malgré le silence, mes oreilles bourdonnaient de temps en temps. Je tentais de chasser ces parasites, mais je n’y parvenais pas. Quelqu’un était encré dans ma tête, et tentais désespérément de me contacter. Mais j’étais tellement loin que je n’arrivais pas à distinguer les moindres paroles. Cela dura à de nombreuses reprises. Mais bizarrement, sans que je sache pourquoi je distinguais quelques syllabes, puis quelques mots, même si le son de cette voix était encore très faible. Et puis, finalement, je pu distinguais une simple phrase : « je suis désolée, Meryl ! Reviens moi » Cette voix, je n’en était pas certaine encore, mais je su qu’elle m’était familière. Qui pouvait tant me regretter ? N’était-je donc pas un « déchet » ? Non, c’était probablement une simple illusion, d’une vie que je n’avais pas connue. Pendant une durée indéterminée, je n’entendis que le silence. Avais-je donc raison ? Ce n’était donc qu’une illusion ? Et pourtant, l’espoir d’être aimé et désiré me revenait souvent en tête. Sûrement des regrets. Mais après tout, j’étais humaine. Et puis, soudainement, je la ré-entendis. Beaucoup plus fort cette fois-ci. Comme si je m’étais rapproché. J’avais l’impression de continuer à tomber mais je voyais ce petit point de lumière grossir au fur à mesure. Remontais-je donc à la surface ? Et allais finalement rejoindre le Paradis ? Je l’espérais tant. Après tout, je n’avais pas été si mauvaise comme fille, non ? J’étais bosseuse, sage et discipliné ? Quoi qu’un peu rabat-joie pour Lana, je dois l’avouer, mais le devoir d’une grande sœur n’est-il pas de protéger sa petite sœur ? Même si nous ne partagions pas le même sang, le même ADN, nous étions tout de même sœur, si différentes certes, mais sœurs ! Avais-je donc mal agit envers elle ? L’avait-je donc perdue à cause de ma protection si complète ? L’envie de me battre pour elle surgit de nulle part. Et même si j’avais été moi-même abandonner, je n’étais pas comme ça, je n’avais pas envie de l’abandonner. Je n’avais pas envie de la perdre après une dispute. Je n’avais pas envie de balayer mes ambitions pour l’avenir : entrer à l'université et rencontrer l'âme sœur. Je n’avais pas envie de détruire mon rêve : devenir un artiste à temps plein avec mon propre nouveau style. J’avais envie de revoir la couleur du soleil, la neige blanchâtre d’hiver. J’avais envie de manger des pêches et me coucher dans un bon lit douillet. Mais sûrement pas de finir dans un trou noir aussi terrifiant que celui-ci ! Peut être est-ce ma détermination, mais j’avais l’impression de remonter, d’apercevoir de plus en plus grand l’ouverture qui se dressait devant moi. « Tu sais, même si je ne te l’ai jamais dit, j’ai toujours était fasciné par toi. Ironie, non ? Et bien que le fait d’être comparé si souvent à toi m’énerve, j’ai encore besoin de toi, Meryl. Tu as encore ton devoir de grande sœur à terminer et tu ne te défileras pas comme ça ! Tu dois encore m’apprendre beaucoup que j’ignore…S’il te plait…fais moi juste un signe. » Je la reconnue enfin. Celle qui me parlait depuis le début. La voix de Lana, ma petite sœur. Non, elle ne m’avait pas abandonné, bien au contraire. Elle m’avait épaulé et protégé. L’amour d’une sœur est donc aussi fort ? Plusieurs larmes vinrent s’échapper de mes yeux et rouler sur ma joue. Soudain, je sentis un contact chaud sur ma joue froide. « Docteur, docteur ! Elle pleure ! » . La voix présentait une once d’espoir. Peut être que je n’étais pas morte ? Juste endormie. Je n’attendais qu’un simple appel pour me battre. La voix familière repris : « J’étais en train de lui parler lorsqu’elle s'est mise à pleurer… » Une main vint soulever ma paupière et éclaira encore plus l’ouverture devant moi, puis la lumière redevint normale. Une nouvelle voix pris la parole : « Vous savez, mademoiselle, parfois les yeux pleurent souvent pour évacuer le surplus d’eau » . Alana répondit d’une simple voix, une voix encore désappointée : « D’accord, merci. » NOOON ! ALANA ! Écoutes moi ! M’écriais-je. J’aurai voulu hurler pour qu’elle saches que je l’avais entendu, mais rien ne voulu sortir de ma bouche. J’approchais de plus en plus de la lumière, je tentais d’étendre mes membres pour l’atteindre plus vite, je me donnais de l’élan. Plus j’approchais, plus je reprenais possession de mon corps. Hélas, mon cerveau ne voulut rien commander. Impossible d’ouvrir les yeux, impossible de bouger, impossible de parler. Et pourtant, j’avais tant à lui dire. O combien j’étais désolée d’avoir été si maladroite envers elle et O combien je tenais à elle.
C’était finit. Je tombais plus. Je flottais dans l’air, en attendant l’instant où je pourrais reprendre le contrôle de mon corps. Beaucoup d’émotions étaient présentes, mais je me recommençais à ressentir le peu de douleur que la morphine n’arrivait pas à dissimuler. Même si la douleur je m’en serais bien passé, j’étais heureuse. J’étais en bonne progression. A mainte reprise, je tentais de bouger un de mes membres. En vain. Cependant, avec mon espoir et ma volonté, je retentais de nombreuses fois l’expérience jusqu’à ce qu’un doigt bougea en premier. Rapidement, le deuxième y vint s’ajouter et je ressentis mes paupières non lourdes, mais légères. Ouvrant délicatement les yeux, je finis par distinguer la lumière de la lune, me piquant les yeux. Regardant autour de moi, je reconnu une chambre d’hôpital, parsemé de fleurs et de nounours. Assise sur la chaise, mon regard se posa sur une personne endormie. Mes yeux s’emplirent de larmes mais elles refusèrent de tomber. La personne réagit en me voyant bouger. C'était un homme d'une vingtaine d'années.

- Où.. où suis-je ?
- Vous êtes sur l'Île de Valencia mademoiselle. C'est moi qui vous es trouvé...
- C'est où ça ?
- Heu... Eh bien dans l'Archiel Orange.
- C'est quoi ? Où je suis ?

J'avais toujours été forte en géographie, mais cet endroit m'étais complètement inconnue... Où était ma sœur ? Et où cet homme m'avais trouvé ?

A NEW DAY AS COME

Il m'a fallu plus de deux semaines pour réaliser et comprendre ce qui venait de m'arriver. J'étais dans un monde complètement inconnu et qui sortait tout droit d'un film fantastique. Les Pokémons, les matches et autres. Au début j'ai pensé que je rêvais, quand j'ai vu que c'était sur du long terme j'ai paniqué... Est-ce que je ne reverrais plus jamais ma famille ? Mes amis ? Mon ancienne vie était révolue ? Impossible... Tout ça c'était impossible, mais heureusement pour moi je n'étais pas seule. L'homme qui m'avait recueillie, il s'appelait Ty, c'était un de ses fameux dresseurs. Il m'a aidé à comprendre ce nouveau monde et à faciliter mon intégration. Il est si... Différent des autres garçons et si attentionné. C'est grâce à lui que je tiens et il m'a dit qu'avoir un Pokémon m'aiderai par la suite, car il allait bientôt voyager et il voulait être seul. Je ne sais pas à quoi m'attendre, j'ai toujours aimé les animaux, mais ces petites choses étaient si différentes des animaux domestiques de Miami. Bientôt j'aurai mon premier Pokémon et ma vie recommencera à zéro.

BIENVENUUUUUE !
=oo l'intégration difficile ? Nonnn tu veras sur la cb xD !

En tout cas bonne continuation pour ta fiche ;)

J'imagine ouais x), mais je ne suis pas le genre de personne à flooder où à aller sur la cb ... Merci en tout cas ! Emma *.*

EDIT : J'ai fini =)

Merci ! Katie *0* Je veux un lien

Hey bienvenue parmi les fous de la vie où l'auto-dérision & les délires en tout genre sont à l'honneur *baaaaf*
Amuse-toi & n'hésite pas si tu as une question ;)

& ne t'inquiète pour l'intégration : je n'apprécie pas beaucoup le flood mais grâce à la CB, c'est vite fait :DD. Don't worry

Merci ! Ah enfin un forum qui me correspond alors x).
Ouais, je vais essayer d'y aller le plus souvent possible. Encore merci !

Akane; OMO une fan de T-ARA *000* J't'aime déjà
Midnight; Merci

Alors Meryl [strike]Streep[/stirke], je viens de lire ta fiche
J'ai A-DO-RÉ Franchement, l'histoire, le style, le peau de faute quoi C'est magnifique. Il n'y a rien à dire tellement j'étais accroché à un tel point que j'étais déçu que j'avais fini la lecture :(
Bref, je te valide

Dès à présent, tu peux demander un starter chez ce brave Professeur, capturer plus de 400 pokemons, défier des millions de dresseurs, ... Mène une vie de pokemaniac :D
Amuse-toi bien & n'hésite pas si tu as une question

Aw merciii Je suis contente que ma fiche te plaise *.*